De quoi s'agit-il ?
Quels sont les comportements associés ?
- filtrer les informations pour être le seul à avoir une vision globale (et garder une forme de pouvoir)
- demander un point fréquent et détaillé sur les dossiers en cours
- contrôler les horaires d’arrivée et de départ.
- contrôler les plannings de rendez-vous.
- relire chaque document produit par l’équipe, avec des corrections très précises.
- demander à rester en copie de tous les emails envoyés par les membres de l’équipe,
- imposer la validation de chaque décision prise par l’équipe
- transmettre des directives sans écouter l’équipe
Mes conseils pour sortir du micro-management et développer une attitude de leader
- choisir la tache/mission à déléguer
- identifier la personne dans l’équipe qui a les compétences et la motivation pour réaliser cette mission
- recevoir la personne en entretien pour lui expliquer de quoi il s’agit et valider son envie de prendre en charge la mission
- mettre en place des points d’étapes pour suivre le collaborateur dans la réalisation (en trouvant le bon rythme pour lui et sans être sur son dos tous les jours 😉)
- évaluer la progression dans l’atteinte de l’objectif de cette mission
- encourager et féliciter !!
2. Mon second conseil : vous positionner en manager coach. Le but est d’aider chaque collaborateur à développer ses compétences en trouvant par lui-même les solutions ou actions à mener.
Cela implique que le manager donne moins d’instructions, et qu’il ouvre plus la discussion. Cette attitude permet de responsabiliser le collaborateur, et cela renforce sa confiance en lui. De plus, cela vous positionne comme un leader, qui accompagne, sans imposer. Vous sortez du contrôle absolue pour aller vers le questionnement.
Par exemple, lorsqu’un dossier n’avance pas comme prévu, vous pouvez échanger avec la personne en charge de ce dossier pour lui demander ce qui, selon lui, empêche de faire avancer le dossier. Vous pouvez ensuite poser des questions ouvertes : comment il verrait les choses, de quoi il aurait besoin pour avancer mieux, ce qu’il pourrait faire, quelles difficultés il pourrait rencontrer, etc. Ces questions permettent un échange constructif, et développent l’autonomie du collaborateur.